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Pour la première fois, une étude clinique a révélé un lien entre le régime alimentaire des femmes enceintes et la fréquence des crises épileptiques et des convulsions de leur bébé au cours de la première année de vie.

Une nouvelle étude menée à l’ hôpital de la femme de Fukushima, au Japon, montre qu’un régime alimentaire particulier réduit de 12 à 20 % le risque que les bébés atteints de crises épileptiques ou de convulsions aient un problème neurologique à l’avenir.

La principale conclusion de l’étude est que ces crises sont beaucoup moins fréquentes chez les femmes qui ont des taux élevés de vitamine D et de protéines de lait, qui sont des composés essentiels pour les bébés.

Les chercheurs ont constaté que le risque était le plus élevé chez les femmes qui prenaient des multivitamines, des suppléments de calcium et de protéines de lait, qui peuvent être bénéfiques pour la croissance et le développement de l’enfant.

En ce qui concerne le régime alimentaire, les chercheurs ont constaté que les femmes qui avaient des taux de vitamine D élevés et de protéines de lait élevés avaient un risque accru de crise de type 2, qui est la forme la plus courante de crises épileptiques, et celles qui prenaient des multivitamines, qui sont associées à un risque réduit, avaient un risque accru de type 1.

Cette étude, publiée dans le Journal of Nutritional Health and Therapeutics, a porté sur un petit nombre de femmes qui ont pris part à un essai clinique de 14 mois.

Selon les chercheurs, ce n’est pas une surprise de voir une telle différence dans le risque de crises entre les groupes de femmes, car les scientifiques s’attendaient à ce que les niveaux de vitamine D et de protéines de lait soient en corrélation avec le risque d’épilepsie.

Les chercheurs ont également constaté que les femmes qui avaient un faible niveau de vitamine D avaient un risque accru de type 2.

Le Dr Yuichiro Kanamatsu, co-auteur de l’étude et chercheur principal de l’essai, a déclaré: «Nos résultats montrent que le risque de crises d’épilepsie pour les femmes enceintes est significativement réduit par rapport au risque chez les femmes sans grossesse.

Les femmes qui prennent un supplément de vitamine D ont un risque accru de crises épileptiques, mais l’étude a révélé que le risque est réduit par la prise de multivitamines et de protéines de lait chez les femmes enceintes et les femmes qui ne prennent aucun supplément de vitamine D ou de protéines de lait.

Le Dr Kanamatsu a ajouté: «Nos résultats sont importants pour les femmes enceintes qui prennent des suppléments de vitamine D et de protéines de lait et pour les femmes qui ne prennent aucun supplément de vitamine D ou de protéines de lait pour prévenir les crises épileptiques.

L’étude a porté sur plus de 3 500 femmes qui prenaient des multivitamines et des suppléments de calcium, de fer et de protéines de lait, et non sur les femmes enceintes.

La première étude a révélé que les femmes qui prenaient des multivitamines ont un risque accru de type 2 et les femmes qui prenaient des suppléments de calcium, de fer et de protéines de lait ont un risque réduit. «Les femmes qui prenaient des multivitamines avaient un risque réduit de type 2, alors que les femmes qui prenaient des suppléments de calcium, de fer et de protéines de lait avaient un risque réduit.»

Les chercheurs ont noté que leur étude est la première à examiner le lien entre les régimes alimentaires et les problèmes neurologiques à long terme chez les femmes enceintes. «Les études cliniques sont très limitées et ne permettent pas de conclure si les régimes alimentaires et les suppléments peuvent réduire le risque de troubles neurologiques à long terme chez les femmes enceintes, ou peuvent éventuellement être utilisés en toute sécurité dans la pratique clinique», a déclaré le Dr Kanamatsu.[...]

Cette étude a porté sur plus de 3 500 femmes qui prenaient des multivitamines et des suppléments de calcium, de fer et de protéines de lait, et non sur les femmes enceintes.

La première étude a révélé que les femmes qui prenaient des multivitamines avaient un risque accru de type 2 et les femmes qui prenaient des suppléments de calcium, de fer et de protéines de lait ont un risque réduit.

«Les études cliniques sont très limitées et ne permettent pas de conclure si les régimes alimentaires et les suppléments peuvent réduire le risque de troubles neurologiques à long terme chez les femmes enceintes, ou peuvent éventuellement être utilisés en toute sécurité dans la pratique clinique», a déclaré le Dr Kanamatsu.

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Ces résultats ont été publiés dans le Journal of Neurological Research.

Les chercheurs ont examiné les données de 3 504 femmes participant à l’essai clinique de 14 mois. La moitié prenait des multivitamines (une combinaison de vitamines et de minéraux) et l’autre moitié des suppléments de calcium, de fer et de protéines de lait. Ils ont également reçu des soins de routine pendant la grossesse par un obstétricien. Les niveaux de vitamine D étaient mesurés avant et au moment de la naissance, et les chercheurs ont examiné les niveaux de vitamine D et de protéines de lait chez les mères avant la naissance et à la naissance.

Les chercheurs ont constaté que les femmes prenant des suppléments de vitamine D avaient un risque réduit de type 2. Les femmes prenant des suppléments de calcium, de fer et de protéines de lait avaient un risque réduit de type 2, tandis que les femmes prenant des suppléments de calcium, de fer et de protéines de lait avaient un risque réduit de type 1. Les femmes qui prenaient des multivitamines avaient un risque accru de type 2.

Les chercheurs ont noté que l’étude n’est pas suffisamment importante pour tirer des conclusions définitives, bien qu’il s’agisse d’un sujet de recherche prometteur et qu’une étude plus large sera nécessaire pour tirer des conclusions. «Les résultats de l’étude sont encourageants et devraient encourager les femmes enceintes à s’assurer qu’elles prennent des vitamines et des minéraux qui soutiennent la croissance et le développement de leur bébé», a déclaré le Dr Kanamatsu dans une déclaration de la NHS Choices.

L’étude n’a porté que sur 14 mois. Il est donc trop tôt pour tirer des conclusions.

Cette étude n’a porté que sur 14 mois.